murales pintados en madera y muro que muestran diferentes perspectivas de escenas cotidianas y paisajes urbanos, con plantas que aparecen en terrazas y balcones, en la calle, en casas y en oficinas

Cinta Vidal, des maisons et des plantes qui défient la gravité et symbolisent un nouveau modèle urbain

Murale ‘Le Parc Blanc’ | Ruban Vidal

Vrai ou faux. Haut ou bas. Vous pouvez le dire plus fort, mais pas plus clairement. La vert dans les villes c’est un modèle urbain impératif qu’à ce stade personne ne devrait remettre en cause. En fait, après le confinement pandémique, nous l’apprécions tous davantage.

L’artiste pluridisciplinaire Ruban Vidal aucun doute à ce sujet, et dans certaines de ses peintures murales, où le sols ils apparaissent sur les terrasses et les balcons, dans la rue, dans les maisons et dans les bureaux, laissant un témoignage fidèle de l’urgence de mettre en œuvre ce vert urbain. Une autre question est la manière dont ces scénarios sont représentés, avec des constructions qui offrent différents points de vue et qu’ils m’hypnotisent.

‘précipice’ | Ruban Vidal

La vérité est que ceux peintures murales ils sont faits avant la pandémie, bien qu’ils puissent nous faire penser que l’inspiration qui a ému l’artiste est le résultat de cette expérience.

Les peintures sur bois et murs de Cinta Vidal sont des œuvres d’inspiration architecturale, des œuvres qu’elle appelle ‘constructions anti-gravité’ et qui apparaissent devant le spectateur comme de petits univers qui flottent dans les airs. Ils sont paysages urbains et scènes du quotidien où l’architecture rencontre divers éléments surréalistes. Dans ces décors singuliers, l’artiste introduit des espèces végétales sans lésiner sur la variété ni sur la quantité. Sols qui surgissent des balcons et des terrasses, poussent dans tous les sens, tombent des murs et même jaillissent des toits.

Cinta Vidal et la loi de la perception

Cinta Vidal dessine et peint depuis son enfance et elle n’aime pas qu’on la qualifie d’artiste, car ce terme lui paraît grandiose. Il préfère parler de capacité. Il a suivi un cycle de formation de niveau supérieur à l’école Massana de Barcelone. À l’âge de 16 ans, il se forme à la Taller de’Escenografia Castells Planas, l’un des ateliers les plus prestigieux d’Espagne et d’Europe, où il expérimente la scénographie et l’ancien métier de peindre des décors pour le théâtre. La vérité est que leur peintures muralesà l’huile et à l’acrylique, sur bois et murs, semblent fonctionner comme toiles de fond à la vie.

‘Accueil’ | Ruban Vidal

Une grande partie de l’approche de travail de mur de Cinta Vidal s’inspire de la prémisse selon laquelle « la loi de la perception signifie que lorsque vous voyez quelque chose qui ne correspond pas à ce que vous imaginez, vous ne le voyez pas, vous arrêtez de le voir », un principe qu’elle utilise pour proposer différents points de vue dans ses oeuvres.

‘Coworking’ | Ruban Vidal

« En principe, toutes mes peintures ont plus d’un point de vue. C’est amusant, on peut les tourner et à chaque tour tu découvres de nouvelles choses pour que dans chacune de ces perspectives tu découvres un monde différent, une nouvelle scène du quotidien et des détails que tu n’avais pas appréciés ». En réalité, l’intention de l’artiste est que le spectateur reconnaisse ce qu’il voit, mais qu’il le voie d’une manière très différente ou, comme elle le dit, d’une manière « non structurée et brisée ».

‘Deux Maisons’ | Ruban Vidal

le vert urbain

Cinta Vidal aime la paix et tranquillité offerte par la nature, et avoue que les villes le stressent un peu. Pour cette raison, dit-il, ses peintures ont tendance à être paisibles, et il y montre des personnes apparemment détendues effectuant des activités quotidiennes. Un scénario qui est devenu particulièrement pertinent pendant le confinement dû à la pandémie, bien que, comme je l’ai déjà mentionné précédemment, les travaux aient été réalisés en amont.

‘Chambre avec vue’ | Ruban Vidal

« J’aime jouer avec l’architecture pour parler de qui nous sommes et de nos relations. Ce sont des temps étranges et dystopiques, dans lesquels nous nous isolons dans nos maisons, nous protégeant d’un monde extérieur de plus en plus fou. Je cherche à recréer ce moment de tristesse où il n’est ni jour ni nuit et chacun habite sa maison à sa façon. Ce qui se passe à l’intérieur de chaque maison est toujours un mystère.»

Ruban Vidal

Cette allégation, où les maisons interrogent le quotidien et qu’elle représente avec ses « constructions anti-gravité », sert à l’artiste à représenter nouvelles perceptions des paysages urbains: « Les éléments architecturaux, la nature et le mobilier sont agencés de manière singulière pour interroger leur place dans notre environnement et notre propre façon de nous y rapporter, défiant les lois de la gravité et de la physique. »

‘Paysage blanc’ | Ruban Vidal

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